Présidente du comité de pilotage du projet du Trèfle-Blanc, Anne Emery-Torracinta fait le point sur la situation en exclusivité.
Pérennité du Stade de Genève, assurée par le biais d’une subvention cantonale à hauteur de 1.8 million.
La construction et l’entretien des infrastructures sportives relèvent habituellement et historiquement des compétences communales. Or, lorsque les projets revêtent une dimension intercommunale large, cantonale ou régionale, le canton est amené à devoir s’impliquer de manière plus importante. Ce fut le cas avec le Stade de Genève pour lequel le canton vient de décider d’en subventionner le fonctionnement à hauteur de 1.8 million. Et c’est également le canton qui s’est trouvé devoir piloter la réflexion sur le projet de nouvelle patinoire.
Par ailleurs, indépendamment des questions de financement qui sont liées à ces projets, se pose nécessairement la question d’une évaluation globale des besoins en matière d’infrastructures sportives. Le canton doit donc d’une part procéder à l’inventaire des infrastructures existantes et, d’autre part, déterminer les besoins futurs en la matière.
Pérennité du Stade de Genève, assurée par le biais d’une subvention cantonale à hauteur de 1.8 million.
Finalisation du projet de construction et de financement des infrastructures pour la relève élite dans le football (Genève Éducation Football – GEF).
Pilotage de la réflexion sur la future nouvelle patinoire en lien avec les autres départements de l’État de Genève concernés (DF, DALE, DETA et DSE) ainsi que les villes de Genève et Lancy.
Présidente du comité de pilotage du projet du Trèfle-Blanc, Anne Emery-Torracinta fait le point sur la situation en exclusivité.
Le Grand Conseil a octroyé hier une aide financière annuelle de 1,8 million à la fondation pour gérer le Stade de Genève.
Hier matin, Ge/Servette s’est présenté devant les autorités (Canton, Ville de Genève et Ville de Lancy), pour enfin présenter un dossier a priori crédible pour la future patinoire. «C’est une étape importante qui va désormais nous permettre d’avancer concrètement dans le projet. Bien sûr, le travail ne fait que commencer. Mais j’ai ressenti une réelle volonté d’aller de l’avant autour de la table. J’ai envie d’être optimiste quant au succès de ce partenariat public-privé», précise Anne Emery-Torracinta.
«Les politiques ne traînent pas les pieds sur le dossier», explique Anne Emery- Torracinta. Au club désormais d’agir .